Une pie se pose sur le bras d’Aurore Castan-Ain. |
Pour spectaculaire qu’elle soit, leur présence est pourtant accessoire
à la danse. L’intervention animale souligne la capacité humaine à être
conscient de chaque geste. La danse est lente, complexe – avec de l’humour
lorsque, dans les interludes sans oiseaux, elle en rappelle les mouvements.
Mais ce ne sont pas des accessoires. Tout est subordonné à leurs
besoins, même le public a qui on demande le silence et de ne pas applaudir. Comme
le titre l’indique, il ne s’agit pas de gagner leur confiance, mais de rendre
compte de leurs secrets, non pas en les révélant mais en attirant l’attention,
à travers les danseurs, sur leur existence.
L’Union
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