Un incendie ravage-t-il la vallée
de la Crise, menaçant la population, avançant à la vitesse d’un cheval au
galop, sautant d’arbre en arbre, jetant ses flammes haut dans le ciel ?
Pas du tout : c’est que le soleil lève-tard d’hiver, traînant son ennui, s’amuse
parfois à jouer les incendiaires.
L'Union
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