Vue à « Tempête ! » au Mail, Patou Tranoy distribue déjà des
programmes et marque-pages « V.O. ». Spectatrice à la 1ère édition.,
bénévole à la 2e, elle est au conseil d’administration depuis 2007. Avec son
métier d’infirmière, ce n’est pas surprenant que, pour elle « la culture a un pouvoir positif et
thérapeutique. C'est une bouffée d'oxygène et à consommer sans modération ! »
Une professeur qui aime le théâtre
Rencontrée au Mail, Thérèse Lapp s’engage dans le marathon du festival. Alors
qu’elle était professeur, elle a toujours donné une bonne place au théâtre dans
ses cours. Ayant participé à plusieurs ateliers de l’Arcade, connus pour
éveiller leurs stagiaires aux sensations de la scène, elle sera d’autant plus
sensible aux enjeux des spectacles de « V.O. » 2011.
Une actrice devenue spectatrice
Un
régisseur dans la nature
Fabio,
les Aztèques et les Espagnols
Retrouvé au centre festivalier, Fabio Alessandrini de Compiègne, après
avoir été de Gênes. Directeur-acteur de la compagnie « Il teatro di
Fabio », il pétille comme son verre de champagne de réalisations et de
projets de théâtre. Il est probablement le seul Italien à avoir joué une
one-man pièce racontant la conquête des Aztèques par les Espagnols, rien de
moins. Verrons-nous jouer Fabio un jour à « V.O. » ?
Chercher la magie
En attendant
que les lumières baissent et que nous soyons enfin entièrement au théâtre, la
conversation est nouée avec Elisabeth, au visage familier parmi les spectateurs
à « V.O. ». Elle est de Soissons. « Je
vais souvent au théâtre pendant le festival, alors que j’ai vu moins de
spectacles pendant la saison au Mail. » Qu’est-ce qu’elle vient y
chercher ? « La magie »
admet-elle, « Oui, c’est ça, la
magie. »
Loin de la limite d’âge
Retrouvé dans l’auditorium du Mail après « Une mort moderne »,
Rémi Wallaere. Elève de Première au lycée Nerval, il est sans doute le plus
éloigné en âge de la limite mortelle prônée dans cette simili-conférence féroce.
Il l’a aimée, « même plus
qu’aimée ». C’est son quatrième spectacle. Après le lycée ? « Peut-être une école du cinéma. »
Un
président en fin de festival
Rattrapé juste avant la fin, Jean-Pierre Pouget, président de « V.O.
en Soissonnais ». L’édition 2011 ? « Marquée par sa diversité, même si le théâtre reste au cœur du
programme. » Il remerciera tous les organismes et personnes impliqués,
après le dernier spectacle. Un souci immédiat : comment faire rentrer le
trop-plein de spectateurs pour les « Vieilles » ? C’est pourtant
encourageant, mieux que des chaises vides.


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