Après les
premiers concerts de « Jazz à l’Arsenal », l’installation d’une sorte
de baldaquin au-dessus des musiciens avait amorti le tourbillonnement des sons
tant critiqué, et l’abandon de l’estrade a amélioré encore la situation
acoustique. D’autres auditeurs restent gênés par le volume meurtrier des
enceintes.

Son inspiration actuelle est le groupe
britannique de jazz progressif « King Crimson », sans qu’il soit
nécessaire de le connaître pour apprécier la profondeur et la largeur de la
créativité Collignon. « Je veux du
dur depuis un moment. Je déteste tout ce qui est mou ! »
clame-t-il, pour définir ce nouveau tournant dans sa musique. « Il faut que ça passe ou ça
casse ! »
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