Trois enfants cambodgiens. |
Vivant en Normandie, elle a déjà fait partager à Soissons son regard d’artiste plein d’acuité sur le monde : l’Inde, Venise, la Méditerranée romaine. Cette fois, elle relève les riches couleurs cambodgiennes qui inondent tout, les visages, les sourires, les pans de mur, la verdure. Une image attire surtout l’attention : un petit temple d’Angkor Wat, pris dans une étreinte amoureuse et fatale par un banyan. Ses troncs, qui s’entrelacent autour de la porte sculptée et se rejoignent au-dessus, font penser que la nature a autant d’imagination que les hommes.
Voilà les images qui entoureront tout l’été un étal de livres d’auteurs d’Asie, comme c’est devenu l’habitude à la Bibliothèque. C’est logique : le regard mène ici à la lecture.
L'Union
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