Victor Moisseron et Marianne Delcourt, avant d’entrer en scène à la cathédrale. |
Quatre-vingts stagiaires, avec une vingtaine de professionnels, ont porté ainsi tout un concert à la cathédrale, à nouveau disponible pour de tels événements.
Deux violoncellistes de Saint-Quentin ont commenté les ateliers. Marianne Delcourt n’avait besoin que d’un mot, « Génial ! » Pour Victor Moisseron « C’est travailler ensemble qui compte. » Il n’y a pas que des scolaires : Arnold Desongins, professeur de maths à Laon et stagiaire, s’enthousiasmait pour François-Xavier Roth, « Chef d’orchestre tout de même international ».
Sous sa direction, le programme était tourné vers l’Amérique et, selon un spectateur, « Ils ont joué de mieux en mieux, jusqu’au dernier mouvement du dernier morceau. »
La cathédrale fait le plein. |
Le morceau principal a été la symphonie du « Nouveau monde » de Dvorak. Archiconnue, elle prend un autre éclairage jouée en direct, révèle ses subtilités. Dans le contexte du concert, la série d’accords vers la fin ouvrait la perspective d’un monde nouveau, celui qui attend ces élèves musiciens.
L'Union
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires seront vus avant d'être affichés.