Les deux enseignants/metteurs en scène les ont exercés avant
tout à être pleinement présents eux-mêmes sur scène,
dans leur corps et dans leur voix, plutôt que de « faire semblant »
d’être quelqu’un d’autre, ce qui peut rendre les spectacles d’enfants
embarrassants.
Le résultat est que les deux histoires atteignent leur
but, c'est-à-dire la sensibilité des spectateurs. Les plus petits parlent d’intolérance
et de boulimie – « Je préfère mourir plutôt d’avoir faim ! ».
Les grands, en racontant la construction de la tour de Babel, montrent que l’explosion
linguistique qui s’ensuit, loin d’un échec, amène un enrichissement prodigieux
du monde par l’introduction des différences entre les peuples.
Les élèves du Centre émeuvent par le message humaniste
qu’ils portent avec tant de force.
L’Union
Le roi de
Babylone se plaint déjà que son trône est trop bas. Alors la tour…..
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