05/08/2014

Orgues d’été : un Allemand à a cathédrale

L'organiste avec Michel Deharvengt, ancient président
des Amis des orgues, et Jean-Pierre Vincent, secrétaire.
Don Vincent Clavery, curé de la cathédrale, a traité de « providentiel » le fait que « cent ans exactement après le début de a guerre mondiale, ce soit un Allemand qui donne un concert ici. » En effet, Ansgar Wallenhorst est revenu, huit ans après son premier passage, avec un programme adapté aux orgues de Soissons : Bach, Vierne, Liszt et, pour finir, sa propre improvisation sur un thème que lui avait suggéré Vincent Dubois, titulaire des orgues.
    Parmi les richesses du récital, « Feux follets » de Louis Vierne a rempli la cathédrale de sons aussi insaisissables que le phénomène du titre, faisant courir les oreilles du public.
    Parlant d’Ansgar Wallenhorst après le concert, l’organiste soissonnaise Marguerite Ferté n’avait que des compliments, surtout pour son interprétation de la transcription par Bach d’un concerto de Vivaldi « sans les flons-flons », disait-elle. « Quand le maître rencontre l’instrument, voilà le résultat ! »
L'Union

Ansgar Wallenhorst après son concert à la cathédrale.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires seront vus avant d'être affichés.