Le premier
des quatre concerts organisés par le Conservatoire du Soissonnais pour permettre à ses professeurs de quitter
les salles de cours et jouer devant le public, a eu lieu à Saint Léger.
La présentation des classes de cuivres assurait une forte
présence familiale, parents, frères et sœurs remplis de fierté, et parfois
distraits. Après les enfants, les Cuivres soissonnais ont joué avec l’Ensemble
du Conservatoire.
Le grand vaisseau lumineux de l’abbaye offre un cadre
éclatant pour ces instruments, en faisant luire et briller le cuivre, même si
l’acoustique est difficile au fond de la nef. Selon Jean-Philippe Pouilhe des
Cuivres soissonnais « Un peu de résonance convient aux cuivres, mais Saint
Léger est surdimensionné. »
Après l’entracte, un quintette de professeurs a montré les
large possibilités de leurs instruments, faisant comprendre que le son des
cuivres ne se limite pas au fameux mordant, mais peut devenir doux, presque léger.
Ils ont présenté un répertoire allant de « hits » Renaissance à la
musique pop.
Tous les musiciens devaient se retrouver en final pour la célèbre
et lente « Sarabande » de Handel, remplissant ainsi tout le volume de
l’église. L'Union
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