Signes d’un exode : chaussée et
trottoirs vides, par un samedi matin par-dessus le marché. C’est comme si les
habitants fuyaient devant des envahisseurs, abandonnant sur place leurs
voitures en panne d’essence. En réalité, ce n’est pas une invasion mais une
évasion, celle d’août : la population est partie promener son allégresse
ailleurs. A apprécier par ceux qui restent, car ça ne durera pas !
L’Union
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