800 pèlerins
de l’Aisne, dont 100 malades, y compris 26 originaires de Soissons, sont
transportés dans un train de 13 wagons, qui part de St Quentin, fait arrêt à
Soissons, Villers-Cotterêts et Paris (pour accrocher une locomotive), avant de
traverser la France dans la nuit.
Ces chiffres et faits de base ne traduisent guère l’énorme élan qui met
en branle le pèlerinage annuel à Lourdes. Voir les malades, pèlerins,
Hospitaliers et autres bénévoles, c’est sentir la force qui les anime. Sur le
quai Mgr Giraud, évêque de Soissons, évoque le thème pour cette année : le
« Notre père ». Cette prière, qui peut devenir mécanique, sera
examinée mot par mot. Par exemple, « la
tentation dont elle parle n’est celle de faire ceci ou cela, mais la seule
grande, celle de se séparer des autres. » Au milieu de l’animation qui
accompagne la montée en train, personne ne paraît succomber à cette tentation
là. La solidarité est partout.
L’Union
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