La « petite salle » du Mail, en fait la salle des fêtes équipée et aménagée, offre un grand plateau au sol, entouré de rideaux suspendus, comme les projecteurs, à une structure tubulaire démontable.
Les onze danseurs de « La voie est
libre » l’exploitent pleinement. Ils sont en dernière répétition avant la
représentation du soir. Ce sont des amateurs regroupés autour de Valérie et
Jérôme Merle, qui s’intéressent à la danse comme moyen de
« raconter » une histoire personnelle, intime.
Ils n’accomplissent pas les exploits techniques de danseurs professionnels, mais les corps sont éloquents. Seuls ou en interaction, ils ont un regard intérieur, un silence que souligne la bande sonore. La compagnie propose « une expérience artistique poétique personnelle » pour chacun, menant à la rencontre avec un public. Selon Valérie Merle, parlant des barrages que construit un corps pour se défendre, tout peut servir à un danseur pour improviser et dire son histoire, « même certaines raideurs ».
Dans quelques heures ils seront devant une centaine de spectateurs, pour lesquels cette pièce chorégraphie libérera peut-être la voie vers leurs propres corps.
Ils n’accomplissent pas les exploits techniques de danseurs professionnels, mais les corps sont éloquents. Seuls ou en interaction, ils ont un regard intérieur, un silence que souligne la bande sonore. La compagnie propose « une expérience artistique poétique personnelle » pour chacun, menant à la rencontre avec un public. Selon Valérie Merle, parlant des barrages que construit un corps pour se défendre, tout peut servir à un danseur pour improviser et dire son histoire, « même certaines raideurs ».
Dans quelques heures ils seront devant une centaine de spectateurs, pour lesquels cette pièce chorégraphie libérera peut-être la voie vers leurs propres corps.
L'Union
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