Les musiciens jouent Manuel da Falla. |
Sous cet angle inhabituel, l'ouverture de "Cosi fan tutte" acquiert une finesse supplémentaire. La très connue Sérénade de Dvorak qui a suivi est enracinée dans la culture tchèque, au point de commencer et finir par l'arrivée et le départ d'un orchestre de village.
Sensible au risque de doux assoupissement généré par les sauves sonorités des vents, l'ensemble est passé à une oeuvre contemporaine de Bernard van Beurden, pour vents mais avec pas moins de quatre percussionnistes ! Enfin, "L'amour sorcier" de Manuel da Falla comble et titille à la fois, par sa vigueur, ses subtilités, ses rythmes capiteux.
L'Union
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires seront vus avant d'être affichés.