
Entretenir et accorder l’instrument est un travail pour des professionnels, financé par les instances publiques ; mais entretenir les relations et s’accorder sur la gestion de l’orgue demande des arrangements, des compromis, de la délicatesse parmi les personnes concernées. La cathédrale appartient à l’Etat, le clergé contrôle l’accès, et les associations ont leurs prérogatives. Un exemple : par souci de sécurité, la clef de la tribune reste au presbytère, et l’association et les organistes doivent la demander à chaque fois pour accéder aux orgues.
Le travail associatif repose sur les épaules de quelques individus, admet le président. Jean-Michel Verneiges de l’Adama s’est néanmoins félicité de la situation à Soissons, « par rapport à d’autres orgues du Département ; pour certains, il n’y a plus d’association du tout ».
L'Union
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