Après sa conférence, Tanguy Châtel enchaîne des échanges individuels avec ses auditeurs. |
Comment répondre à ces interrogations déchirantes ? Pour Tanguy Châtel, il s’agit moins de trouver des mots que de rejoindre la personne au fond d’elle-même. N’étant pas abandonné, elle peut s’abandonner à la mort.
L’accompagnant donne, mais reçoit autant, en ayant accès à « la dimension la plus fine de l’être humain ».
Tanguy Châtel a conclu en définissant les deux questions essentielles qui se posent face à la mort : « Est-ce que j’ai été aimé ? Est-ce que j’ai vraiment aimé ? »
L'Union
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