Devant la bibliothèque municipale, Julie Gonçalez,
Emmanuelle Dufour, Marion Houareau et Maryline Malanda (de gauche à droite) résoudrent
un vieux paradoxe des lycéens. Alors que le soleil du mois de juin, entre les
froideurs d’hiver et les brûlures d’été, incite à tous les débordements, les
révisions pèsent sur leurs jours et raccourcissent leurs nuits. Avant le bac de
Français, ces quatre élèves du lycée Nerval comptent sur l’énergie solaire pour
faire rentrer le contenu des livres dans leur cerveau.
L'Union
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires seront vus avant d'être affichés.