Le Festival des cathédrales de
Picardie 2006 a poursuivi son voyage musical en Italie à la cathédrale de
Soissons. Après le répertoire profane vénitien à Septmonts de Poïésis, le chœur
« Vox cordis » d’Arezzo a présenté la musique sacré de Rome; dont celle de deux rénovateurs, Palestrina au 15e siècle siècle et Liszt au 19e.
Sous la direction of Lorenzo Donati, les choristes ont
illustré brillamment le rayonnement musical de Rome. Selon les exigences du
programme, ils se regroupaient, se déplaçaient. Pour le premier chant
gréogorien, « Ave Maria maris stella » - plus ancien que la
cathédrale elle-même – les voix d’hommes, devant la tribune d’orgue, ont été
rejointes par celles des femmes placées à la croisée, en un moment de grande
intensité. Le chant enveloppait le public : l’acoustique tenait du
merveilleux.
Après l’entracte, le public a eu l’occasion d’entendre
« Via crucis », le chemin de croix, œuvre tardive de Liszt, dénuée,
intérieure, bien loin de ses partitions torrentielles plus connues. De
Palestrina à Liszt, des chants liturgiques anciens à la messe chorale de la
messe chorale de l’époque romantique, le changement se trouve surtout dans les
harmonies, qui deviennent rêveuses, et dans le développement plus théatral.
L’Union
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