C’est
clair, d’autres p’tits patelins paumés de l’Aisne veulent devenir célébrissimes,
y a pas de raison !. Mais il ne suffit pas de brandir un aérosol devant un
panneau de signalisation pour y arriver. D’abord, le dosage entre vaches (97%) et
habitants (7%) de Marly-Gomont n’est pas
respecté à Pasly, même s’il y sûrement un « Kéké » et un
« Biquette » parmi les sportifs du coin. Il faudrait d’abord et
surtout un Kamini paslyien, proposant le même cocktail de dérision, d’amertume
et d’affection, pour hisser le lieu au rang des stars topographiques.
L'Union
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