Trois
sœurs prennent ensemble le train à la gare de Soissons. Dans la nuit il
traversera la France pour arriver le matin à Lourdes. C’est le « train
blanc » des pèlerins, destiné aux malades et infirmes et leurs
accompagnants. Germaine, en fauteuil, Odette à gauche, et Denise – Mmes Castel,
Brasseur et Leroux – cumulent entre elles près de trente visites à Lourdes. Les
efforts héroïques qu’il faut rien que pour faire monter tout le monde dans les
wagons montrent que le pèlerinage est non seulement un acte de foi, mais une prodigieuse
expression de force et de vitalité humaines.
L’Union
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