On peut traquer les bourgeons, guetter les
primevères, interroger le thermomètre à la recherche des prémices du printemps.
Ici, dans la vallée de la Crise, les signes ne peuvent pas être plus clairs :
des agneaux de quelques jours gambadent sous le regard serein de la brebis.
Celui-ci s’est arrêté un moment pour se restaurer, conscient qu’il faut se
donner des forces dans la vie.
L’Union
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