Hélène Loret et Philippe Denais, professeurs d’arts plastiques et chefs
du commando, répondaient à la proposition de Pierre Fourny, de la compagnie
Alis, de participer au volet « A nu » de son projet « La
coupure ». Un autre, « La coupure (mot commençant par) » est
exposé au musée Saint Léger, et le troisième, « A vue », fera partie
de « VO en Soissonnais ».
Le lycée s’est couvert de centaines d’affiches, allant du format timbre-poste
à une bâche de 3x4m. « L’ambiance parmi les afficheurs était jubilatoire »
dit Hélène Loret « avec aussi un sentiment de transgression. »
Les réactions ? « Beaucoup y ont vu une publicité, d’autres n’ont
même pas remarqué. Cela faisait peur à certains. » Bien des affiches
ont été volées, assurant ainsi une plus large diffusion.
L’objectif ? Poser un acte gratuit, montrer que l’art n’est pas là
seulement pour décorer le quotidien, mais aussi le titiller, le déstabiliser,
le provoquer.
L’Union
Apolline Têtart, Camille Duchêne et Adèle Fortin, membres du commande
d’affichage.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires seront vus avant d'être affichés.