A un moment où on crache sur la viande chevaline, voire la
crache, il convient de rappeler sa place traditionnelle dans la cuisine
française. Le temps des travaux de rénovation de cette charcuterie de la rue
Georges-Muzart, à l’occasion du changement de propriétaire, une ancienne
vocation du local apparaît. Au moins les clients savaient ce qu’ils y achetaient.
L'Union
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