Le résultat est un fin équilibre, avec des thèmes bien marqués qu’ils métamorphosent ensuite. Se cherchaient-ils encore au début ? Pascal a trouvé le deuxième set « nettement plus convaincant ». Voilà comment deux styles s’imbriquent, s’enrichissent, se provoquent.
Daniel a profité pour sortir sa clarinette basse, dont le son peut plonger vers les profondeurs inattendues. Seul regret de la soirée : c’était l’avant-dernier concert au Dakota, car le bail vient à sa fin. La patronne Emmanuel Bélair ne perd pas espoir : « Nous cherchons un autre local, pour faire un « Dakota bis » annonce-t-elle. Les amateurs de jazz à l’échelle intime lui souhaiteront de réussir. Pascal Bréchet à la guitare, Daniel Amadou à la clarinette basse, au Dakota.
L'Union
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